■ Dieu n’est pas hors du monde : Dieu est Nature, Substance infinie, produit de sa propre création.
■ La Nature est tout ce qui existe, dans l’infini des possibilités.
■ La Nature est constituée de deux attributs perceptibles par l’homme : l’étendue et la pensée.
■ La Joie permet d’approcher la Liberté, la Tristesse en éloigne.
■ L’Idée existe non seulement en tant que descriptive de l’objet, mais aussi en tant qu’elle-même : elle est sa propre Vérité, sa propre perfection.
■ L’affect est l’apport d’un objet ou d’un sentiment à l’individu : il est bon (et apporte la Joie) ou mauvais (et apporte la Tristesse).
■ Le bien et le mal n’existe pas : Dieu ne pense pas, il est.
■ La morale est humaine. La Nature ne connaît que le bon ou le mauvais, relativement à un sujet et à une situation donnée.
■ La Nature est éternelle, par ce qu’elle est, et chacun de ses composants conséquemment.
■ Un objet est par essence constitué de l’infinité des attributs de la Nature, indissociables les uns des autres.
■ Le corps et l’esprit sont parallèles entre eux, conséquemment à tous les attributs d’un même objet, en tant que mode de l’Etendue et mode de la Pensée de l’humain.
■ L’homme libre naîtra au sud, viendra du nord, se nourrira à l’est, et montrera le chemin aux sages qui l’auront attendu. Ce non-messie viendra un jour car c'est statistiquement inévitable.
■ L’homme ne peut se définir par lui-même : il est ce que l’affect extérieur fait de lui. L’homme libre choisit les affects auxquels il se livre pour améliorer son conatus, sa puissance de vie.
■ La liberté d’être ce que l’on est provoque la joie, à condition de n’être pas entouré d’esclaves : le spinoziste aime la liberté des autres autant que la sienne.
■ La Nature est tout ce qui existe, dans l’infini des possibilités.
■ La Nature est constituée de deux attributs perceptibles par l’homme : l’étendue et la pensée.
■ La Joie permet d’approcher la Liberté, la Tristesse en éloigne.
■ L’Idée existe non seulement en tant que descriptive de l’objet, mais aussi en tant qu’elle-même : elle est sa propre Vérité, sa propre perfection.
■ L’affect est l’apport d’un objet ou d’un sentiment à l’individu : il est bon (et apporte la Joie) ou mauvais (et apporte la Tristesse).
■ Le bien et le mal n’existe pas : Dieu ne pense pas, il est.
■ La morale est humaine. La Nature ne connaît que le bon ou le mauvais, relativement à un sujet et à une situation donnée.
■ La Nature est éternelle, par ce qu’elle est, et chacun de ses composants conséquemment.
■ Un objet est par essence constitué de l’infinité des attributs de la Nature, indissociables les uns des autres.
■ Le corps et l’esprit sont parallèles entre eux, conséquemment à tous les attributs d’un même objet, en tant que mode de l’Etendue et mode de la Pensée de l’humain.
■ L’homme libre naîtra au sud, viendra du nord, se nourrira à l’est, et montrera le chemin aux sages qui l’auront attendu. Ce non-messie viendra un jour car c'est statistiquement inévitable.
■ L’homme ne peut se définir par lui-même : il est ce que l’affect extérieur fait de lui. L’homme libre choisit les affects auxquels il se livre pour améliorer son conatus, sa puissance de vie.
■ La liberté d’être ce que l’on est provoque la joie, à condition de n’être pas entouré d’esclaves : le spinoziste aime la liberté des autres autant que la sienne.